ne qu'ils peuvent être induits par la molécule (tel celui de la prostate), et l'utilisation des pesticides dans les plantations. Les faisceaux de présomption convergent cependant pour incriminer le produit. Une étude, publiée pas plus tard que lundi et portant sur les cancers possiblement liés à la pollution des sols par les pesticides organochlorés (POC) en Martinique, conclut à une « association possible » entre une hausse de myélomes multiples (cancer des os) constatée dans l'île et les POC. Précautionneuse, elle n'est néanmoins pas la première du genre. Surtout, il y a le nombre de cancers, qui n'a fait que croître en Martinique et en guadeloupe au cours des dix dernières années. La justice française acceptera-t-elle de se pencher sur le sujet? À la cour d'appel d'en décider. Marie-Noëlle Bertrand[Nos pages Une planète et des hommes- http://www.humanite.fr/+-Une-planete-et-des-hommes 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 3 Septembre 2009 société Bagnolet : Hortefeux porte plainte À la suite de l'accident qui avait causé la mort d'un jeune livreur de pizzas, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme ]survetement nike Yayou Sanogo, au cours d'une course-poursuite avec la police, Brice Hortefeux avait déclaré vouloir agir en toute transparence. Aujourd'hui, il agit pour « défendre l'honneur de la police nationale ». Dans un communiqué diffusé hier, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme ]survetement lacoste le ministre de l'Intérieur annonce qu'il va porter plainte contre des témoins qu'il accuse d'avoir menti à la presse en accablant la police. Sont particulièrement visés : un homme de trente-deux ans disant avoir assisté à la scène et affirmant : « La voiture de police, à hauteur de la moto, s'est rabattue contre elle. Il y a un impact. » Et un jeune du quartier déclarant : « La voiture de police l'a poussé, c'est de la faute des policiers. Ils l'ont tué. Ils sont responsables. » Selon l'autopsie pourtant, le jeune homme serait mort d'un traumatisme thoracique correspondant au choc avec le pilier de la barre métallique contre laquelle il s'est encastré. Anne Roy 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 2 Septembre 2009 événement « Avec 29 enfants par classe, comment apprendre à lire ? » Pour protester contre les classes surchargées, des parents occupent depuis hier la petite école de Barbières, dans la Drôme. Les parents d'élèves de Barbières, petite commune rurale de la Drôme, ont décidé d'occuper symboliquement l'école primaire de leurs enfants. Motif, la fin du « regroupement pédagogique intercommunal » (RPI), décidé unilatéralement par le conseil municipal du village voisin de Besayes. Depuis neuf ans, les deux écoles, attachées par ce RPI, se divisaient les classes de primaire. Mais, en juin dernier, prétextant d'un coup financier trop élevé de 4 000 euros par an, correspondant aux transports du midi, la commune de Besayes met fin au RPI. À Barbières, on grince des dents. Avec seulement 100 enfants inscrits, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme ]survetement lacoste pas cher la commune est contrainte de fermer une classe. La loi en prévoit 5 pour 104 enfants et 4 pour 100. Or, avec la création d'un nouveau lotissement près du village, au moins quatre enfants devraient rejoindre les bancs de l'école communale en cours d'année. La fin du RPI ne permettant plus le basculement d'enfants d'une commune à l'autre, la municipalité de Barbières est contrainte d'accepter tous les inscrits quitte à surcharger les classes. « Avec une classe de grande section-CP à 29 élèves, difficile de savoir lire en fin d'année » dans ces conditions, s'énerve Éric Léger, parent d'élève à Barbières. Ensemble, les parents ont donc décidé de réagir. « On va occuper l'école symboliquement jusqu'à la visite du sénateur PS et président du conseil général de la Drôme, Didier Guillaume », prévue demain. « Si la demande de réouverture d'une cinquième classe n'est pas décidée rapidement, nous occuperons les locaux plus fermement. » Rappelant qu'une cinquiè