és de blocage du lycée », explique son père. Soutenu par la FCPE, il a engagé de nombreuses démarches auprès du proviseur et du rectorat afin d’obtenir la réinscription sans condition de Tristan. Toutes restées sans réponse. « C’est une procédure de criminalisation de l’engagement, regrette Tristan. Ils se servent de cela pour calmer les lycéens. Je l’ai appris juste avant l’épreuve de français du baccalauréat. Imaginez un peu la pression... » Il y a quelques mois, le proviseur en question expliquait que les syndicats avaient échoué à tenir les élèves. Rassemblement aujourd’hui à 11 h 30 devant le rectorat de Paris. Lina Sankari Lucien San Biagio 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 3 Juillet 2009 événement Les associations au secours des « oubliés » Mots clés : crise financière, À l image du Secours populaire, elles se mobilisent pour offrir aux plus démunis une chance de s évader quelques jours. La crise économique et sociale ne faiblit pas, transformant pour beaucoup les vacances en luxe inaccessible. Pour lutter contre ce phénomène, des associations comme le Secours populaire français (SPF) ou les Petits frères des pauvres se battent pour offrir à ceux qui n'en ont pas les moyens une chance de s'évader, de s'envoler vers d'autres cieux, et par là même de lutter contre cette exclusion due à la précarité. Parce qu'elles sont les premières victimes de l'isolement et les plus fragiles socialement, les personnes âgées sont les principales bénéficiaires de l'association les Petits frères des pauvres, qui organise chaque année des séjours de huit à quinze jours dans ses « maisons de vacances », au bord de la mer ou la campagne. Ainsi, plus de 1 000 personnes âgées peuvent voyager dans le cadre de ces opérations. De même, pour ceux qui ne voudraient ou ne pourraient pas partir loin de chez eux, diverses activités et animations sont organisées à proximité, voire au domicile même de la personne âgée. Objectif affiché : rompre cet isolement qui frappe durement nos aînés, du fait de leur âge ou de leur situation sociale. Au Secours populaire, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-22-Survetement-Lacoste-Pas-Cher ]survetement lacoste l'organisation de départs en vacances est une véritable tradition : « On garde le souvenir de l'année 1936 et du Front populaire, raconte Julien Lauprêtre, président de l'association. Depuis, la situation s'est dégradée, il y a vraiment eu un grand écart. » Avec le SPF, ce sont surtout les plus jeunes qui sont à l'honneur. « Est-il normal qu'un enfant sur trois ne connaisse pas les joies du départ et du dépaysement ? » interrogent responsables et bénévoles. Aussi, comme tous les ans, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme/c-8-Survetement-Armani-EA7-Pas-Cher ]armani pas cher l'association se démène pour pouvoir faire partir en vacances les enfants issus des milieux les plus précaires, si possible avec leur famille. Les objectifs sont ambitieux, il s'agit de s'adresser à tous les « oubliés des vacances », comme le proclame la campagne estivale de l'association. Et, pendant plus de quatre mois, les événements se multiplient : journées de détente, escapades de plusieurs jours pour des familles en difficulté, auxquelles s'ajoute l'organisation d'un « banquet des cheveux blancs », pour que « les aînés aussi passent un moment inoubliable ». « Les familles ne demandent jamais d'aide pour partir, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme ]survetement nike on est obligé de faire un réel travail d'éducation populaire, pour leur faire comprendre que, eux aussi, ils y ont droit. Pour eux, les vacances, ça fait partie d'un autre monde, qui n'est pas le leur, témoigne encore Julien Lauprêtre. Et pour cause, certains n'ont même pas de valises, ils n'en ont jamais eu besoin ! » Pourtant, insiste le président du SPF, « les vacances ne sont pas un luxe mais un besoin vital. Lorsque ces familles reviennent d'un séjour, leurs problèmes ne sont pas résolus, elles retrouvent exactement la même misère, mais elles ne l'abordent pas de la même façon. » M. S. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires