commentaires sur la décision d'interdire l'accès à ce parc. Ce qui nous préoccupe, c'est que les demandeurs d'asile que nous suivons ne veulent qu'une chose : pouvoir se poser pour recommencer leur vie. Dormir dans la rue empire leur souffrance psychologique, mais au moins, au square Villemin, ils avaient trouvé un endroit où ils pouvaient se poser. Les évacuer soudainement d'un endroit où ils se sentent à l'aise et où ils ont leurs repères ne peut qu'augmenter le stress et l'inquiétude. Vous portez par ailleurs un regard critique sur l'opération anti-gale menée à Calais, par la préfecture... [*Laura Brav*]. Avec Médecins du monde et les associations locales, nous avions programmé une opération contre la gale à Calais, comme celle que nous avions réalisée à Paris (lire l'Humanité du 6 juillet). Une semaine avant notre opération, la préfecture a annoncé la réquisition des douches et médecins pour faire sa propre intervention. On a été pris de cours, puisqu'on avait engagé des frais. Mais, du point de vue des migrants, on ne pouvait que se féliciter de cette opération, même précipitée. Toutefois, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-17-Survetement-Armani-EA7-Pas-Cher ]survetement armani sur le long terme, ces interventions ponctuelles contre la gale ne servent à rien si des mesures durables ne sont pas prises, comme un renforcement des structures médicales et un accès à des points d'eau pour éviter que l'épidémie ne revienne.(1) Selon la convention de Dublin, la procédure d'asile est traitée par le premier pays de l'Union européenne traversé. Entretien réalisé par M. B.[Notre dossier Sans-papiers- http://www.humanite.fr/+-Sans-papiers 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 19 Août 2009 société Grippe A. « C’est du saupoudrage » Mots clés : grippe a, Point de vue « Les infirmiers scolaires sont en capacité de prendre en charge une éventuelle pandémie de grippe A justement parce que ce sont des professionnels. Il subsiste néanmoins quelques doutes sur la mobilisation des recteurs. Lors de la grippe aviaire, ils étaient chargés de mettre en place une formation et des informations pour les professionnels de la santé, ce qui n’avait pas été fait dans l’académie de Rennes, entre autres. Il faudrait que cette formation ne se fasse pas secteur par secteur mais bien avec des médecins hospitaliers et d’autres personnels de santé afin que chacun puisse échanger. Ensuite, il y a un gros : nos effectifs. En 2005, le ministre de l’Éducation d’alors, François Fillon, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme/c-7-Survetement-Adidas-Pas-Cher ]adidas pas cher avait développé un plan de création de 1 500 postes d’infirmier sur cinq ans. C’était a priori une bonne chose, mais ce n’est toujours pas suffisant en cas de pandémie. Nous sommes 7 500 infirmiers scolaires pour 8 200 collèges et lycées. Cela signifie que certains d’entre nous tournent déjà sur plusieurs établissements. Et l’on nous demande de prendre également en charge les 55 000 écoles primaires et maternelles, voire le privé... Ces mesures, c’est du saupoudrage. »Propos recueillis par L. S. Lucien San Biagio 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 19 Août 2009 Société Luc Chatel, virus de l esbroufe Mots clés : grippe a, http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme ]survetement lacoste Grippe A . Le ministre de l Éducation a détaillé hier son plan de prévention pour le milieu scolaire. Son credo : ni dramatisation ni banalisation. Mais plusieurs questions restent sans réponse. «Mon rôle, c'est de fixer des grands principes, des process. » Des grands principes, Luc Chatel, ministre de l'Éducation, en a effectivement énoncé lors de sa présentation du plan de prévention contre la grippe A pour les écoles. Il a d'abord exclu toute fermeture préventive et générale des établissements et tout report de la rentrée. Pas de « dramatisation » donc, il l'avait promis. En lieu et place, le gouvernement a préféré « le cas par cas ». À partir de trois cas en moins d'une semaine survenant dans une même classe ou des classes différentes avec activi
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13. November 2014 11:24