ulture Lumières de François Morellet rétrospective . Un regard sur 45 années de création, avec la complicité et l humour du plasticien. Dans le château de Villeneuve, à Vence (Alpes-Maritimes), où se trouve la fondation Hugues, le commissaire de l'exposition, Zia Mirabdolbaghi, responsable de la programmation de ce lieu ouvert depuis quinze années, a invité François Morellet et accueilli les oeuvres les plus lumineuses de cet artiste. Le titre explicite, « 45 années de lumière », met en avant la préoccupation que Morellet a eue pour ce matériau tout au long de sa carrière. Ici il a réactivé des oeuvres qui viennent toutes de sa collection personnelle et l'on voit avec quel souci il conserve certaines de ses pièces. Les premières datent des années soixante, moment de l'art cinétique où les artistes veulent faire participer le spectateur et utilisent des matériaux contemporains comme l'ampoule - de celles que l'on voit sur les scènes rock accompagnant les rythmes musicaux. La lumière est aussi là pour éprouver nos sens, de l'oeil jusqu'au corps, qui dessine des flashs psychédéliques, des jeux visuels très sexy ainsi que des réflexions sur la représentation de la lumière convoquant, par exemple, http://www.viagracialisrx.fr/ ]sac vanessa bruno le peintre Claude Monet et ses variations sur la cathédrale de Rouen, avec toujours des clins d'oeil et des jeux de mots - l'oeuvre, en l'occurrence, s'appelle Démonétisation. Morellet mêle toujours dans son travail la science et l'humour - peut-être a-t-il été à bonne école en fréquentant très tôt Pierre Dac, Francis Blanche et les Frères Jacques, entre autres. Ce double bagage lui permet d'explorer différents domaines, tout en poussant la logique à ses limites où elle finit par se retourner sur elle-même dans un grand éclat de rire. Ici les dispositifs montrent une large palette, depuis ceux qu'il a réalisés dans les années soixante - lorsque faisait partie du GRAV, groupe qui voulait démystifier une certaine façon de mettre l'art à distance du public - jusqu'à nos jours. L'artiste s'est amusé avec le commissaire à présenter des oeuvres sans rendre l'affaire ennuyeuse ni figée. On retrouve tout à fait là le souci de Morellet d'être toujours délicat avec le public, sans donner dans le côté Disneyland. On assiste de salle en salle à une sorte d'émerveillement poétique qui nous transporte dans un monde coloré, mouvant et lumineux et, en tout cas, très vivant. Jusqu'au 2 novembre, http://www.viagracialisrx.fr/ ]vanessa bruno pas cher « 45 années de lumière », http://www.viagracialisrx.fr/ ]sac vanessa bruno Vence, château de Villeneuve. Fondation Émile-Hugues, tél. : 04 93 58 15 78. Lise Guéhenneux. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 20 Août 2008 culture Au milieu de l enfer Documentaire . Un film à message nous invitant à ne pas oublier le Darfour. Darfour : du sable et des larmes, de Paul Freedman. 1 h 33.Pourquoi fait-on des films ? Parfois, http://www.viagracialisrx.fr/ ]sac vanessa bruno http://www.viagracialisrx.fr/ ]sac vanessa bruno http://www.viagracialisrx.fr/ ]vanessa bruno pas cher c'est le cas ici, pour sensibiliser, pour interpeller comme on dit aujourd'hui, pour que le spectateur sorte de la salle en retenant l'adresse des sites à consulter et le numéro des comptes bancaires où verser qui s'affichent dans les génériques de fin. La motivation de Freedman est d'autant plus forte que, côté Darfour, c'est silence radio. Nul Michael Moore n'est passé par là , pas l'ombre d'une fiction alors que nous en sommes à dix films sur l'Irak. Il est vrai que, le gouvernement soudanais ayant eu la sagesse de se ranger au côté des Américains dans sa guerre contre le Mal, il aurait été malséant d'aller lui chercher des poux dans la tête pour 400 000 civils tués et deux millions de déplacés qui croupissent dans des camps sans la moindre possibilité de revenir chez eux : maisons détruites, puits empoisonnés et le reste à l'avenant. Tout ce que dit le film mériterait d'être rapporté. On se contentera, dans le contexte spécifique d'une page culture, de dire que le réalisateur a mis toutes les chances de son côté. Jouant le didactisme de préférence à la création, il se réfugie dans l'écr
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1. Dezember 2014 18:00