que disait l'ancien règlement. Le nouveau, voté en 2007, lui confère, en plus, le devoir de contribuer à la préservation de l'environnement et au bien-être animal. En revanche, http://www.burberrymagasin.fr/c-95-Echarpe-Burberry/c-97-Cheche-Burberry ]Cheche Burberry femme sa vocation équitable n'y est pas explicite, même si l'on peut la deviner derrière l'idée de développement rural. Dans quelle mesure l'importation de produits bio est-elle raisonnable, quand elle implique un « coût carbone » élevé ? [*Stéphane Bellon.* Il faut distinguer les produits pour lesquels l'importation est un mal nécessaire de ceux pour lesquels elle devrait être évitée. Mieux respecter la saisonnalité permettrait de ne pas importer des haricots verts du Kenya en hiver... Cela dit, il faut aussi se demander si le local est toujours « biotifful » et veiller à ce que certaines régions ne soient pas lésées. Au total, si l'on admet que l'agriculture doit faire des transitions pour devenir plus écolo, le bio est une lueur d'espoir. Plus son niveau d'exigence sera élevé, plus il tirera les autres agricultures vers le haut. Entretien réalisé par Marie-Noëlle Bertrand[Voir notre dossier: Développement durable- http://www.humanite.fr/+-Rechauffement-climatique-+?var_mode=calcul 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 30 Mars 2009 société « Ni pauvre ni soumis », mais toujours mobilisé Solidarité . Un an après leur manifestation historique, les associations de handicapés multiplient les actions pour le droit à un revenu d existence décent. Il y a un an tout juste, le 29 mars 2008, elles créaient l'événement : au prix d'efforts immenses, quelque 35 000 personnes handicapées venues de toute la France défilaient à Paris. Une mobilisation sans précédent, initiée par un collectif d'une quarantaine d'associations réunies dans un mouvement baptisé Ni pauvre ni soumis (NPNS), sur un objectif simple : gagner l'instauration d'un « revenu d'existence décent », d'un niveau égal au SMIC brut, pour les personnes qui ne peuvent travailler du fait de leur handicap ou de leur maladie. À l'heure actuelle, http://www.burberrymagasin.fr/c-50-Burberry-Homme/c-61-Pantalon-Classique-Burberry ]Pantalon Classique Burberry l'allocation adulte handicapé (AAH) s'élève à 656 euros et maintient donc ses 800 000 bénéficiaires en dessous du seuil de pauvreté. Un an après, le collectif Ni pauvre ni soumis a voulu marquer « un anniversaire au goût amer » en organisant, le week-end dernier, des manifestations décentralisées dans de nombreuses villes, sous des formes diverses : rassemblement de plusieurs centaines de militants à Marseille, « mur de visages » à Versailles, distribution de tracts sur l'autoroute à Valence...Car, depuis le 29 mars 2008, « le président de la République et le gouvernement ne veulent pas comprendre, ni entendre », constatent les associations. Le chef de l'État avait promis, durant sa campagne électorale, d'augmenter l'AAH de 25 % d'ici à la fin de son mandat. Si cet engagement a trouvé un début de concrétisation, pour les associations, le compte n'y est pas. « Le rattrapage proposé est insuffisant par rapport à la réalité des besoins, souligne Jean-Marie Barbier, l'un des porte-parole du collectif NPNS, président de l'Association des paralysés de France. « Même avec cette hausse de 25 %, en 2012, http://www.burberrymagasin.fr/c-95-Echarpe-Burberry/c-97-Cheche-Burberry ]Cheche Burberry on restera bien en dessous du seuil de pauvreté, pour des personnes qui ne peuvent pas ou plus travailler », pointe-t-il, avant d'observer : « La valeur travail, dont le président parle très régulièrement, ça ne concerne que les gens qui peuvent travailler... » En outre, http://www.burberrymagasin.fr/c-13-Burberry-Femme/c-23-Chemise-Burberry-Manches-Courte ]Chemise Burberry Manches Courte pas cher l'engagement présidentiel ne concerne pas les quelque 800 000 bénéficiaires de pension d'invalidité ou de rente d'accident du travail, pour lesquels aucune revalorisation n'a été annoncée. Les 29 janvier et 19 mars derniers, signe de leur détermination à poursuivre la mobilisation, de nombreux handicapés ont pris part aux défilés syndicaux exprimant le refus des salariés de « payer la crise ». « On ne peut qu'être solidaires de leur message. En temps de crise, les personnes les plus faibles sont les premi
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17. November 2014 19:10