assijis, ils se sont rempli les poches en rackettant tous les secteurs, http://www.grandirenhumanite.fr/pull-survette-lacoste-doudoune-lacoste-homme-pas-cher-vente-chaude-sacoche-lacoste-missouri-homme.html ]pull lacoste des pistaches jusqu’aux ressources minières. Les raffineries de pétrole n’ont jamais été modernisées, des pans entiers de la métallurgie, des industries de pointe et tout l’artisanat se sont effondrés, http://www.grandirenhumanite.fr/chaussure-lacoste-bob-Soldes-pas-cher-missouri-France-femme-homme.html ]lacoste homme Âsaignés par les expropriations illégales et la corruption. Les Iraniens impuissants continuent d’envoyer leurs enfants à l’école, à l’université – où les programmes ont été « islamisés ». Mais le chômage touche 25 % de cette population essentiellement composée de jeunes (60 % ont moins de 30 ans). « Et non seulement on ne trouve pas de boulot mais, en plus, on ne peut même pas profiter librement de la vie, ni boire d’alcool, ni faire la fête, ni draguer, ni sortir », résume Ahmad, la trentaine. Etonnez-vous ensuite de les voir se défoncer…Chez certains, la drogue se consomme, disons, http://www.grandirenhumanite.fr/pull-survette-lacoste-doudoune-lacoste-homme-pas-cher-vente-chaude-sacoche-lacoste-missouri-homme.html ]pull lacoste pas cher proprement. Rakhshan Bani-Etemad connaît bien ces familles aisées du nord de Téhéran désespérées par un enfant accro. Elle en a fait un film, « Mainline », qui montre le combat d’une mère pour Âarracher sa fille à l’héroïne. « En Iran, les problèmes sociaux et psychologiques engendrent une très grande demande de drogue », euphémise prudemment cette cinéaste engagée qui affronte mille obstructions pour monter ses films. « Et, Âmalheureusement, la consommation ne se limite pas à une seule classe sociale. Ni aux grandes villes. Corollaire de l’appauvrissement général, elle est partout. Partout ! Bien sûr, les plus pauvres sont les plus touchés. Mais on a tellement de laboratoires clandestins qui fabriquent toutes sortes de saloperies… » Oui, en Iran, il est bien plus facile qu’en France de se droguer. La vie y est moins chère, et le prix des « produits » est carrément imbattable : si la cocaïne est réservée aux « riches », un gramme d’opium se négocie environ 10 dollars, et l’héroïne, encore moins. « Avec un peu d’argent, des seringues Ârégulièrement changées, tu peux vivre dix, vingt ans en te Âshootant à l’héro si tu fais attention », explique Aslon Arfa, qui, lui, a passé quatre ans à photographier la lie des drogués dans le sud de Téhéran.Shahnaz, par exemple, 44 ans, mère d’un garçon, est au bout du rouleau. Elle a tenté d’arrêter le crack. Elle a tenu six mois. Mais elle n’a pas pu quitter ce voisinage funeste, http://www.grandirenhumanite.fr/chaussure-lacoste-bob-Soldes-pas-cher-missouri-France-femme-homme.html ]bob lacoste,lacoste missour ses voisins toxicos, les dealers qui lui tournaient autour. Elle a replongé. Dans les hôpitaux du nord de ÂTéhéran, ce n’est guère mieux : les médecins voient maintenant affluer des jeunes de bonne famille détruits par la « chiché », version iranienne de la méthamphétamine, une drogue synthétique hautement addictive, le poison « qui rend fou » et vous lamine en moins d’un an. « Dans les classes sociales aisées, c’est devenu un fléau », explique un observateur.Deux ans après la révolution verte, les Iraniens ont sombré dans une dépression sans fondDeux ans après la « révolution verte » qui s’est dressée contre l’élection trafiquée d’Ahmadinejad, puis après les emprisonnements, les tortures, les viols, les exécutions, bref après la répression sanglante qui a suivi, les Iraniens ont sombré dans une dépression sans fond. Aslon Arfa : « Tout le monde était porté par l’euphorie, on y croyait. Pour la première fois, Âmalgré les violences, les gens étaient heureux. Ils entrevoyaient la fin du tunnel. Aujourd’hui tout est retombé. » Et la situation économique qui s’est aggravée n’a rien arrangé. Ceci explique cela : « Non seulement nous sommes les plus gros consommateurs d’opiacés mais, maintenant, notre consommation de médicaments équivaut à quatre fois la demande mondiale », s’affole le romancier Firouz Nadji-Ghazvini. Ce sont les chiffres de l’Onu. Car depuis deux ans, en Iran, tous les instituts de statistiques ont été fermés, et les sociologues emprisonnés. Comme les journalistes, les étudiants, les blogueurs… Aux abois, les dictateurs ne font pas dans
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21. November 2014 16:50