unesse voit le jour, avec la série «Nour et Norbert», coécrite par l’Association des mineurs marocains du nord et Ricardo Montserrat, dont le premier épisode, Mauvaise Mine, vient de paraître 
(Éd. Ravet-Ranceau). Décidément la colère est bonne conseillère, et nous fait vendanger de beaux raisins.Informations sur le site :
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ou 03 21 15 35 87 A. N. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 28 Avril 2011 Littérature Le trio d’Alexandrie, roman d’une ville-phare D’août 1914 à l’avènement de Nasser, vies et destins dans ce qui fut jadis la capitale d’une Méditerranée sans frontières. Un rêve cosmopolite et sensuel de Dimitri Stefanà kis. Jours d’Alexandrie, http://www.horizon-etudiant.fr ]chemise burberry Dimitri Stefanà kis. Éditions Viviane Hamy. 542 pages, 24euros.Août 1914, Alexandrie, http://www.horizon-etudiant.fr ]echarpe burberry brasserie Daniele. Deux hommes parlent pour tromper leur impatience, de la guerre et du commerce. Une femme paraît. Ce n’est pas elle qu’ils attendent, mais elle attire tous les regards. On devine que quelque chose va se passer entre elle et ces hommes. L’un des deux la connaît déjà : maîtresse d’un affairiste français, elle s’appelle Yvette Santon. Lui, c’est Élias Khoùry, dit «le Libanais». L’autre, que cette apparition a vraiment ému, c’est Antonis Hà ramis, un Grec, fabricant de cigarettes, qui vise à devenir le fournisseur officiel de l’armée britannique. Avec la guerre qui s’annonce, c’est le pactole assuré. Élias, homme d’entregent, par l’intermédiaire de qui aucune affaire d’importance ne peut se conclure, vient d’arranger un «working lunch» avec deux personnalités britanniques. La guerre, le commerce et l’amour. Yvette se laisse conquérir par Antonis. Élias, évidemment, est en coulisses.Le trio d’Alexandrie fait son entrée dans cette métropole cosmopolite et raffinée, http://www.horizon-etudiant.fr ]echarpe burberry pas cher jouant les capitales de l’argent et des plaisirs, entretenant complaisamment le souvenir de sa légende. Pourtant, pour les Égyptiens comme pour les Anglais, http://www.horizon-etudiant.fr ]echarpe burberry pas cher c’est déjà une ville de province. Et la guerre ne restaurera pas sa splendeur passée. Dimitri Stefanà kis compose ainsi son ouverture alexandrine, mettant en place les plans, les personnages qui vont en rythmer les trois époques, http://www.horizon-etudiant.fr ]burberry pas cher soulignant les énergies qui vont les mettre en mouvement, comme s’exposent les thèmes, s’éprouvent les masses orchestrales, s’élèvent les voix d’un opéra somptueux.Les débuts de la Première Guerre mondiale, les Années folles –on dirait le terme inventé pour Alexandrie en 1922– et les premiers jours du régime nassérien, tels sont les jalons historiques de ces Jours d’Alexandrie. La ville par laquelle la Grèce a donné il y a des millénaires une autre capitale au monde méditerranéen tient le premier rôle. Non que le roman soit un huis clos. On s’en échappe, pour Constantinople, Athènes, Munich ou Berlin. Mais son pouvoir d’attraction aimante tous les récits. Histoires de commerce et de guerre, de révoltes et de luttes, histoires de familles et de mort, vécues par le trio du commencement et les deux générations qui le suivent. Ils vivent ces époques où s’effondre leur monde, traversées par le tranchant d’une passion qui finit toujours par prendre sa place dans un paysage pour un temps apaisé. Stefanà kis dédie à cette ville phare un beau roman en forme de déclaration d’amour. Alain Nicolas 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 28 Avril 2011 La chronique Littéraire de Jean-Claude lebrun Christoph Meckel Petits arrangements avec le passé Portrait-robot : mon père, Portrait-robot : ma mère, de Christoph Meckel, traduit de l’allemand par Florence Tenenbaum-Eouzan et Béatrice Gonzalès-Vnagell. Quidam Éditeur, 248 pages, 20 euros.En 1980, Christoph Meckel avait fait paraître Portrait-robot : mon père, http://www.horizon-etudiant.fr ]chemise burberry qui fut traduit une première fois en français chez Flammarion en 1989. L’écrivain, né en 1935,
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2. Dezember 2014 12:59